https://www.arte.tv/fr/videos/069854-017-A/xenius/
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dimanche 21 janvier 2018
Yoga : attention aux blessures
Reportage sur arte sur la pratique du yoga et ses bienfaits sur le corps et l’esprit, mais aussi sur certaines postures qui peuvent entraîner des blessures, surtout pour les débutants.
dimanche 25 septembre 2016
Les bienfaits du yoga après des années
Réduit les risques cardiovasculaires
Plusieurs études tendent à montrer que le yoga a un effet positif sur les facteurs de risque cardiovasculaire. En effet, le yoga contribue à diminuer la pression artérielle chez les personnes souffrant d'hypertension, sûrement en ayant en effet sur la sensibilité des barorécepteurs (récepteur qui détecte les déséquilibres de pression artérielle).De plus, le yoga améliore le profil lipidique chez les patients en bonne santé, comme ceux atteints de maladie coronarienne. Le yoga est maintenant inclus dans de nombreux programmes de rééducation cardiaque en raison de ses bienfaits cardiovasculaires et anti-stress.
En savoir plus :
http://leblogyoga.blogspot.fr/2016/08/yoga-et-hypertension.html
Permet d’avoir son poids de forme
Des chercheurs de Seattle ont montré que la pratique régulière du yoga peut aider à prévenir la propension à prendre du poids chez les individus d'âge moyen pour des personnes de poids normal et favorise la perte de poids chez les personnes qui sont en surpoids.L'étude portait sur 15500 personnes, hommes et femmes, en bonne santé et entre 45 et 55 ans. L'étude a mesuré l'impact du yoga sur le changement de poids indépendamment d'autres facteurs tels que le régime alimentaire ou d'autres types d'activité physique.
En savoir plus :
http://leblogyoga.blogspot.fr/2016/09/le-yoga-permet-detre-son-poids-de-forme.html
samedi 17 septembre 2016
Les bienfaits du yoga après quelques mois
Réduction des douleurs cervicales
Une étude allemande publiée dans The Journal of Pain a montré que quatre semaines de pratique de yoga Iyengar (un type de Hatha yoga qui met l'accent sur le bon alignement et l'utilisation d'accessoires) est efficace pour réduire l'intensité de la douleur chez les adultes souffrant de douleurs cervicales chroniques.En savoir plus : http://www.newswise.com/articles/yoga-shown-effective-for-treating-chronic-neck-pain
Soulagement de l’anxiété.
Une étude d’Université de Boston de 2010 a montré que 12 semaines de yoga pourraient aider à réduire l'anxiété et augmenter le niveau de gamma-aminobutyrique (GABA) dans le cerveau, sachant qu’un faibles niveaux de GABA ont liés à un état dépressif et à des troubles anxieux.En savoir plus : http://leblogyoga.blogspot.fr/2016/09/connexion-entre-le-yoga-et-lhumeur.html
Une sexualité plus épanouie
Une étude publiée dans le Journal of Sexual Medicine a montré que le yoga peut stimuler le désir, l'orgasme et la satisfaction sexuelle générale pour les femmes (l’étude portait sur des femmes entre 22 et 55 ans). En effet, le yoga améliore la vie sexuelle en aidant à se familiariser avec son corps et en stimulant les muscles abdominaux et ceux du bassin.En savoir plus : http://www.health.harvard.edu/healthbeat/yoga-for-a-better-sex-life
Baisse la pression artérielle.
Une étude de l'Université de Pennsylvanie a constaté que la pratique du yoga pourrait aider à réduire leurs niveaux de pression artérielle. Les chercheurs ont constaté que les gens qui pratiquent le yoga avait une meilleure pression artérielle par rapport à groupe à un groupe contrôle qui suivait un programme de marche et conseil en nutrition.En savoir plus : http://leblogyoga.blogspot.fr/2016/08/yoga-et-hypertension.html
dimanche 11 septembre 2016
Le yoga permet d’être à son poids de forme
Entre 45 et 55 ans la plupart des gens gagnent environ un demi kilo par an, car, en vieillissant, nous n’adaptons notre apport calorique à nos besoins énergétiques (qui réduisent avec l'age). Une étude du Fred Hutchinson Cancer Research Center montre que la pratique régulière du yoga peut aider à prévenir la propension à prendre du poids chez les individus d'âge moyen pour des personnes de poids normal et favorise la perte de poids chez les personnes qui sont en surpoids.
L'étude a mesuré l'impact du yoga sur 15500 personnes, hommes et femmes, en bonne santé et entre 45 et 55 ans, indépendamment d'autres facteurs tels que le régime alimentaire ou d'autres types d'activité physique. Les hommes et les femmes qui étaient de poids normal à 45 ans et qui ont régulièrement pratiqué le yoga ont gagné environ 3 fois moins de poids au cours de cette période de 10 ans que ceux qui ne pratiquent pas le yoga.
De plus, les chercheurs ont noté que le plus grand effet de la pratique régulière du yoga était sur les individus en surpoids. Les hommes et les femmes qui étaient en surpoids et qui ont pratiqué le yoga a perdu environ 2,5 kilos, tandis que ceux qui n’ont pas pratiqué ont gagné environ 7 kilos en 10 ans.
Les raisons de cette perte ne sont pas seulement dues à l’activité physique, mais semble bien attaché à la pratique du yoga. Une piste d’explication pourrait être que le yoga permet de cultiver une forme de force intérieure douce. A travers les asanas, le pratiquant apprend à rester dans l’inconfort et développe les ressources intérieures pour maîtriser cet inconfort. Il développe une force intérieure et une capacité à rester conscient. Et c’est avec cette force et cette écoute de soi qu’il aurait les ressources pour rester à la tentation du gâteau au chocolat.
Lien vers l'article : http://www.fredhutch.org/en/news/releases/2005/07/yogaexercise.html
PS : Rappelons que le yoga est ouvert à tous, quelques soit l'age, la condition physique, le handicap ou le poids.
dimanche 4 septembre 2016
Les bienfaits du yoga après seulement un cours
Effet sur le stress.
Selon une étude publiée par l'Université de Californie, les vertus anti-stress de yoga proviennent sûrement de sa capacité à réduire l'activité des protéines qui sont connues pour jouer un rôle dans l'inflammation.
En savoir plus :
Booster son cerveau
20 minutes de Hatha yoga suffise pour améliorer les fonctions cognitives, stimuler la concentration et la mémoire de travail. Dans une étude de l'Université de l'Illinois, les participants ont obtenu des résultats significativement meilleurs sur des tests portant sur le fonctionnement du cerveau après 20 minutes de pratique de yoga, par rapport à leur performance après 20 minutes d'aérobic.
En savoir plus : https://news.illinois.edu/blog/view/6367/20479
Altère l’épigénie (l’expression des gènes)
Une étude de l’Université d’Oslo tant à montrer que les nombreux avantages pour la santé du yoga proviendraient de sa capacité immédiate à modifier l'expression des gènes et plus particulièrement dans les cellules immunitaires.samedi 3 septembre 2016
Connexion entre le yoga et l'humeur
Des
chercheurs de l'University School of Medicine de Boston ont montrés
que le Yoga a un effet positif sur l'humeur et de l'anxiété et que cet
effet est supérieur à d'autres formes d'exercice. Les chercheurs
ont comparé les taux de gamma-aminobutyrique (GABA) dans le cerveaux
entre un groupe de sujets pratiquant le yoga et un groupe pratiquant
la marche, pour des temps équivalent (les taux de GABA bas sont
associés à la dépression et d'autres troubles de l'anxiété
généralisée).
En
plus du taux de GABA, les chercheurs ont aussi évalué l’état
psychologique des participants et ceux qui ayant pratiqué le yoga
ont signalé une diminution plus importante dans des troubles anxieux
et une meilleure gestion de l’humeur que ceux pratiquant la marche.
dimanche 28 août 2016
Yoga et hypertension
Une étude présentée à la réunion annuelle de la Société Américaine d’Hypertension montre que la pratique du yoga peut aider à diminuer la pression artérielle chez les personnes atteintes d'hypertension.
L'étude comprenait 120 personnes avec un âge moyen de 50 ans (mais seulement 58 personnes ont participé jusqu’à la fin de l'étude). Les participants ont été répartis dans trois groupes: le premier groupe pratiquait le yoga deux ou trois fois par semaine dans un studio pendant 24 semaines, le second suivait programme de conseil en nutrition et de marche, tandis que le troisième groupe suivait à la fois du yoga et des conseils diététiques. Les chercheurs ont analysé leur pression artérielle au début de l'étude, au bout de 12 semaines et à la fin (au bout des 24 semaines).
Les résultats de l’étude sont que les gens qui ont pratiqué le yoga ont connu une baisse de la pression artérielle systolique dès 12 semaines et une diminution de la pression artérielle systolique et diastolique à 24 semaines. Les chercheurs ont noté que les deux autres groupes ont également connu des effets positifs sur leur pression artérielle, mais dans une moindre mesure.
jeudi 25 août 2016
Le yoga modifie l’épigénie (l’expression des gènes).
De nombreuses études ont montrées les bénéfices du yoga que cela soit pour la santé physique et comme pour la santé mentale, cependant les mécanismes biologiques sous-jacents sont encore mal compris. Le mystère va peut-être être résolu puisqu’une étude de l'Université d'Oslo a montré que la pratique du yoga a un impact presque immédiat sur l'expression des gènes, en particulier dans les cellules immunitaires.
Les chercheurs ont examiné 10 participants qui ont subi une retraite de yoga d'une semaine où ils ont fait la méditation, des postures (asanas) et des exercices de yoga de respiration. En examinant le sang des participants avant et après des séances de quatre heures, les chercheurs ont trouvé que la pratique du yoga a changé l'expression de 111 gènes des cellules immunitaires. En revanche, la même expérience avec de la relaxation basée sur de la marche et l’écoute de musique change l'expression de 38 gènes.
Comme l’écrit l’équipe de recherche dans son article : Le changement dans l’expression des gènes est rapide (moins de deux heures de début de la pratique) et important ... ces données suggèrent que les effets précédemment rapportés sur la pratique du yoga ont une composante physiologique au niveau moléculaire qui est initiée immédiatement lors de la pratique et peuvent servir de base pour les effets à long terme stables.
Lien vers l'article ;
mercredi 22 juin 2016
Reportage sur le Yoga
La chaîne LCP passe un reportage sur yoga : Yoga, un souffle de liberté. Stéphane Haskell, photojournaliste a été victime d’une hernie discale foudroyante. Handicapé, il rencontre une professeur de Yoga et c’est un peu la révélation. Il a tiré de cette expérience un reportage tourné entre Europe, Amérique, Inde, Chine et Afrique. Avec des pratiquants de tout les milieu et notamment dans une prisons, dans un bidon-ville et dans une école. Une vidéo de lui présentant son film est disponible ici.
Dans ce reportage l’on croise de nombreux malades pratiquant le yoga, mais aussi les témoignages de Faeq Biria dans son centre à Paris, Lisa Walford et bien d'autres pratiquant Iyengar.
PS: prochaine diffusion sur la chaine LCP, le 03/07/2016 à 1h. Le reportage est visible sur plusieurs plateforme de replay (et vendu en dvd).
Dans ce reportage l’on croise de nombreux malades pratiquant le yoga, mais aussi les témoignages de Faeq Biria dans son centre à Paris, Lisa Walford et bien d'autres pratiquant Iyengar.
PS: prochaine diffusion sur la chaine LCP, le 03/07/2016 à 1h. Le reportage est visible sur plusieurs plateforme de replay (et vendu en dvd).
dimanche 21 février 2016
Yoga en prison
Elizabeth Carling, donne des cours de yoga gratuit avec le soutien de
son employeur, Patricia McKeen, propriétaire d'une agence de
conseil. Elizabeth a commencé à donner des cours de yoga basés sur
la pleine conscience de yoga pour les personnes qui font face à la
dépendance, aux problèmes de santé mentale, la violence domestique
et la réinsertion après une incarcération. Elle donne une
interview de ce qui la motive et de son expérience. Nous en
traduisons ici un extrait (Il ne faut pas oublier qu'elle est
américaine, elle vit donc dans un pays avec un système de valeurs
et un système carcéral qui sont éloignés du système français).
Quand des personnes sortent de prison, elles ont une
préparation insuffisante pour faire face au stress de trouver un
emploi et pour la reconstruction des relations avec autrui et de
cultiver les compétences sociales… J'ai la conviction que les
prisons qui allouent des fonds pour les programmes de yoga et de
pleine conscience investissent dans la réduction des violences aussi
bien à l'intérieur des murs de la prison qu'au dehors, quand les
personnes seront relâchées et retournerons dans leur famille et
leur milieu. Je me demande souvent pourquoi nous voulons aider les
personnes ayant commis des crimes et qui méritent d'être là où
ils sont. Ma réponse est tout simplement : ces gens vont être
relâchés un jour et peuvent être notre voisin, ou la personne à
côté de nous dans le bus.
Nous disons que nous voulons que les choses changent dans notre
société, mais si nous ne proposons pas à nos détenus des outils
pour permettre ce changement, ils (et nous avec) vont échouer. Pour
moi, le taux de récidive est le reflet de cette vieille définition
de la folie: "de continuer à faire la même chose encore et
encore et espérer des résultats différents." Je pense aussi
que les programmes de la pleine conscience aideraient à réduire les
coûts des médicaments pour les prisonniers et permettrait
d'économiser de l'argent. Ceci est encore l'objet de recherches,
mais c'est une piste digne d'intérêt. Pour finir, nous avons eu
comme retour du personnel pénitentiaire que les détenus qui
participent régulièrement au groupe de yoga sont plus coopératifs
et présentent moins de problèmes de comportement, ce qui rend le
travail de personnel plus facile et plus efficace.
Ce qui n'est pas vraiment compris par le système carcéral c'est que
les techniques de yoga et de la pleine conscience sont des formes de
thérapie qui aident à l'amélioration et la restauration de la
connexion corps-esprit, de sorte qu'une personne peut trouver des
ressources intérieures pour autoréguler et d'améliorer sont
bien-être. Offrir des cours de pleine conscience n'est pas inutile,
cela donne aux détenus la possibilité d'étendre leur capacité de
compassion et de faire des choix conscients qui entraînent des
changements pro-sociale.
L'interview en anglais https://givebackyoga.org/elizabeth-carling/
L'interview en anglais https://givebackyoga.org/elizabeth-carling/
samedi 31 mai 2014
Gérer et éviter les fringales
Des chercheurs de l'Université de Washington ont constaté que la pratique régulière du yoga induit une prise de conscience des sensations physiques et émotionnels associés à l'alimentation, en d'autre terme les gens qui pratiquent le yoga sont naturellement plus attentif aux goûts de ce qu'ils mangent et à leurs besoins alimentaires. Comme toutes les pratiques qui implique la respiration, la pratique régulière de yoga (avec de la respiration « consciente ») aide à réduire les émotions impliquées dans certains des envies irrépréhensibles et donc à vous aider à gérer les envies de fringales.
Source : Development and validation of the mindful eating questionnaire (Framson, Kristal, Schenk, Littman, Zeliadt, Benitez).
Le yoga réduit la douleur liée aux migraines
Nous continuons notre série sur les effets du yoga : le yoga atténue la douleur des migraines et ce dès trois mois de pratique.
Il faut savoir que même encore aujourd'hui les causes exactes de la migraine ne sont pas entièrement compris. Mes parmi les causes, les auteurs d'une étude médicale pointent la combinaison du stress et de mauvaises postures corporelles comme, par exemple, le fait de courber les épaules et d'avoir la tête en avant devant son ordinateur ou au téléphone. Ces positions, qui tirent la tête en avant, créent des déséquilibres musculaires qui peuvent contribuer à des maux de tête et des migraines.
Dans cette étude soixante-deux patients souffrant de migraines ont été répartis au hasard en deux groupes, un pratiquant le yoga, l'autre l'auto-soins. Après trois mois, les auteurs ont mesuré la fréquence des maux de tête, la sévérité de la migraine et la composante "douleur". Les résultats de l'étude sont très positifs : une réduction significative de la fréquence des migraines, et de la douleur associée, chez les patients traités avec le yoga par rapport à ceux de l'autre groupe.
Source : Effectiveness of yoga therapy in the treatment of migraine without aura: a randomized controlled trial (John, Sharma, Sharma, Kankane).
vendredi 30 mai 2014
Le yoga booste le système immunitaire
Après un moment d'absence, Le blog yoga revient avec une petite série de billets sur les bienfaits du yoga.
Le yoga aurait un effet sur le système immunitaire. En effet, une étude norvégienne récente montre que la pratique du yoga, postures douces et respiration, provoque des changements dans l'expression des gènes qui stimulent l'immunité au niveau cellulaire (l'expression des gènes correspond aux processus biochimiques par lesquels l'information stockée dans un gène est lue pour aboutir à la fabrication de molécules).
D'après les chercheurs, les résultats sont visibles très
rapidement. De plus, les changements sont vraiment dûs au yoga
puisque les chercheurs les ont comparés à un groupe groupe qui a
fait une randonnée dans la nature tout en écoutant de la musique
apaisante. Ces données suggèrent que la pratique du yoga induit des
modifications rapides de l'expression des gènes qui pourraient avoir
des effets positifs sur la santé global de l'individu.
dimanche 19 janvier 2014
Les survivants d'un cancer dormiraient mieux grâce au yoga
Une grande partie des survivants d'un cancer souffre d'une qualité du sommeil altérée. Une étude récente, publiée dans Journal of Clinical Oncology, a montré que la pratique d'un yoga doux améliore la qualité du sommeil (la plupart des participants étaient des femmes 96% ,dont 75 % avaient été traitées pour un cancer du sein).
Dans cette étude, un groupe de participants a pratiqué le yoga pendant 75 minutes deux fois par semaine pendant un mois en suivant un programme conçu spécifiquement pour les survivants du cancer qui inclus : pranayama, hatha doux et méditation. Les participants ont montré une amélioration globale et importante de la qualité du sommeil, ainsi que la qualité subjective du sommeil (leur ressenti). Le yoga leur a permis également de réduire la prise de médicaments pour dormir (-21%). De son côté, le groupe de contrôle (les participants qui n'ont pas pratiqué de yoga) ont augmenté leurs doses de somnifères de 5%.
Bien que cette recherche tende a montré que le yoga a une bonne influence pour les patients cancéreux ayant des problèmes de sommeil, il faut rester prudent au vu des limitations de l'étude comme : l'homogénéité des participants, le fait que des participants aient abandonné l'étude prématurément, etc. De plus, les chercheurs mettent en garde sur le fait que des styles de yoga trop dynamiques peuvent avoir de mauvais effets pour des survivants du cancer.
Remarquons que ce résultat n'est pas si surprenant, puisque nous savons déjà que le yoga permet de lutter contre les insomnies.
Source : http://jco.ascopubs.org/gca?allch=&submit=Go&gca=jco%3BJCO.2012.43.7707v1
dimanche 22 décembre 2013
Le Yoga une aide pour les problèmes pulmonaires ?
Une nouvelle étude vient de montrer que le yoga peut être bénéfique pour les patients atteints de maladie Broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO), une maladie chronique atteignant les bronches.
Durant cette étude, 29 patients atteints de BPCO ont pratiqué le yoga deux fois par semaine pendant une heure et, après 12 semaines de pratique, les patients ont montré une amélioration de la fonction pulmonaire et une réduction de leur problème d'essoufflement. Suite à cette étude, le Dr Guleria déclare : « le yoga peut être une méthode simple et peu couteuse pour aider à améliorer la qualité de vie des patients atteints de BPCO».
Source :
http://www.chestnet.org/News/Press-Releases/2013/10/Yoga-Practice-Beneficial-to-Patients-With-COPD
Durant cette étude, 29 patients atteints de BPCO ont pratiqué le yoga deux fois par semaine pendant une heure et, après 12 semaines de pratique, les patients ont montré une amélioration de la fonction pulmonaire et une réduction de leur problème d'essoufflement. Suite à cette étude, le Dr Guleria déclare : « le yoga peut être une méthode simple et peu couteuse pour aider à améliorer la qualité de vie des patients atteints de BPCO».
Source :
http://www.chestnet.org/News/Press-Releases/2013/10/Yoga-Practice-Beneficial-to-Patients-With-COPD
dimanche 15 décembre 2013
Dormir suffisamment
Nous avons déjà évoqué comment le yoga permet de lutter contre l’insomnie. Mais comment savoir si l'on dort assez ?
Russel Foster, neuroscientifique qui étudie les cycles du sommeil du cerveau nous donne une réponse fort simple « si vous avez besoin d'un réveil pour vous sortir du lit le matin, si vous avez besoin de beaucoup de stimulants, si vous êtes grincheux, si vous êtes irritable, si vos collègues de travail disent que vous êtes fatigué et irritable, il y a de fortes chances que vous soyez en manque de sommeil ».
Mais alors comment avoir la bonne dose de sommeil. Et bien il suffit de se réveiller avant que le réveil ne sonne. Pour cela deux solutions, soit vous vous couchez quinze minutes plus tôt chaque jour jusqu'à ce que vous vous réveilliez avant le réveil, soit vous essayez dans l'autre sens en vous couchant à la même heure, mais en vous levant quinze minutes plus tard.
Si vous voulez savoir pourquoi nous dormons et les effets terribles de la privation de sommeil, vous pouvez aller voir la conférence donnée par Russel Foster disponible avec des sous-titres en français.
La vidéo de la conférence :
http://www.ted.com/talks/russell_foster_why_do_we_sleep.html
samedi 12 octobre 2013
Le Flow
Le Professeur de Psychologie Mihaly Czikszentmihalyi est celui qui a théorisé le concept de flow que l'on pourrait essayer de traduire par Expérience Optimale. A la base de ses travaux, une question simple : pourquoi la vie vaut d'être vécue ? Pour cela, il étudie ceux qui trouvent du plaisir et de la satisfaction durable dans les activités et qui leur apportent un état qu'il qualifie de "flow".
Csíkszentmihályi cherche à briser l'illusion que le bonheur apparaît comme cela ou qu'il dépend seulement de vos revenus. Comme il le dit : « le manque de ressources de base, les ressources matérielles, contribue au malheur, mais l'augmentation des ressources matérielles n'augmente pas le bonheur. »
Dans son livre sur le flow, il écrit : le bonheur n'est pas quelque chose qui arrive. Ce n'est pas le résultat d'une bonne fortune ou du hasard. Ce n'est pas quelque chose que l'argent peut acheter ou qui vient avec le pouvoir. Il ne dépend pas d'événements extérieurs, mais plutôt de la façon dont nous les interprétons. Le bonheur, en fait, est une condition qui doit être préparé, cultivé et défendu par chaque personne.
Dans ce livre, l'auteur encourage le lecteur à ne pas viser la réussite, car cette démarche est vouée à l'échec, voir ne jamais être satisfaite, car quand un succès est obtenu, un autre attire votre attention, et ainsi vous ne vous sentez jamais remplis. Il recommande de traiter le succès comme un effet secondaire imprévu de la poursuite de vos passions. Pour ce faire, vous devez contrôler votre esprit et vous concentrer sur une chose à la fois, à savoir ce qui est face à vous maintenant.
Pour un savoir plus sur le flow et sur Mihaly Czikszentmihalyi, vous pouvez aller voir la conférence qu'il a donné à TED sous-titrée en français.
Conférence sur le site de TED
http://www.ted.com/talks/mihaly_csikszentmihalyi_on_flow.html
vendredi 20 septembre 2013
Le Yoga et les troubles psychiques
Nous avions déjà parlé des travaux du Dr P. Doraiswamy, de l'Université Duke University Medical Center, Etats-Unis et de son appelle à plus d'études pour comprendre les effets du yoga sur les maladies mentales. Il vient de copublier dans la revue Frontiers in Psychiatry (les frontières en psychiatrie) en janvier 2013, une étude qui examine les effets du yoga sur les problèmes d'ordres psychiques. Ainsi, les auteurs de l'article expliquent que « le yoga est devenu un tel phénomène culturel qu'il est devenu difficile pour les médecins et les patients à différencier des revendications légitimes du battage médiatique... Notre objectif était de déterminer si des éléments de preuve validaient les promesses ».
Des bénéfices ont été trouvés pour toutes les maladies mentales
incluses dans l'analyse, à l'exception des troubles de
l'alimentation et des problèmes cognitifs. Le Dr P. Doraiswamy
explique que de nouvelles preuves scientifiques montrent que le yoga
peut non seulement aider à améliorer les symptômes, mais peut
également avoir un rôle dans la prévention des maladies mentales
liées au stress (voir le Yoga réduit la réponse de l’organisme face au stress)
L'étude qui
s'intéresse aux biomarqueurs a révélé que le yoga semble
influencer les principaux éléments du corps humain qui jouent un
rôle dans la santé mentale et de façon similaire aux
antidépresseurs et la psychothérapie. Le yoga affecte les
neurotransmetteurs, l'inflammation, le stress, les lipides, facteurs
de croissance et des seconds messagers.
Cependant,
les auteurs indiquent que, si ces résultats sont prometteurs, ils
doivent être considérés comme préliminaires car toutes les études
de yoga à ce jour ont porté sur de petits échantillons, et des
recherches plus rigoureuses seront nécessaires avant que le yoga
puisse être appliqué pour aider les patients souffrant de troubles
mentaux.
Source :
Yoga on our minds: a systematic review
of yoga for neuropsychiatric disorders
Meera Balasubramaniam, Shirley Telles
and P. Murali Doraiswamy
samedi 14 septembre 2013
Etre assis toute la journée n'est vraiment pas bon
Travis Saunders, doctorant à l'Hôpital
pour enfants de Eastern Ontario explique à la revue runners world : « Jusqu’à très récemment, si vous
faisiez de l’exercice pendant 60 minutes ou plus par jour, vous
étiez considéré comme physiquement actif, ...(mais) un ensemble de
nouvelles recherches suggèrent qu’il est tout à fait possible de
répondre aux directives actuelles concernant l’exercice physique
tout en étant incroyablement sédentaire, et que la position assise
augmente le risque de décès et de maladie, même si vous faites
beaucoup d’exercice. C’est un peu comme fumer. Fumer est mauvais
pour vous, même si vous faites beaucoup d’exercice. Etre trop
assis, c’est pareil. »
Le professeur Marc Hamilton, directeur
du département Inactivité physique au Pennington Biomedical
Research Center déclare : « Nous avons été très surpris de voir
que même avec un haut niveau d'exercice cela n'a pas d'importance
pour réduire l'effet du temps passé assis... Votre corps est conçu
pour bouger. » En fait, lorsque vos muscles, en particulier certains
muscles des jambes, sont immobiles, la circulation ralentit, le corps
utilise moins de sucre et brûle moins de graisses, ce qui augmente
le risque de maladie cardiaque et de diabète. Un homme qui est assis
plus de six heures par jour a 18% plus de risques de mourir d'une
maladie cardiaque et 7,8% de plus de risque d'avoir du diabète que
quelqu'un qui est assis pendant trois heures ou moins par jour.
dimanche 7 juillet 2013
Du sport oui, mais avec souplesse et flexibilité

De plus en plus de sportifs professionnels intègrent le yoga à leurs entraînements. On peut citer par exemple l'équipe de football de l'université du Maryland qui pratique le yoga, ou le coach américain Nick Winkelman qui reprend les asanas
de yoga dans ses programmes d'étirements pour professionnels de la NFL. On
pourrait se demander pourquoi un tel engouement pour le yoga ? Et bien, il d'abord le plaisir de la pratique, mais cela ne les concerne pas tous, la capacité à gérer le stress, mais aussi la nécessite de garder un corps souple quand on se muscle.
En effet, d'un point de vue physiologique, en se musclant les muscles ischio-jambiers
deviennent progressivement de plus en plus forts et de plus en plus
serrés jusqu'à ce qu'ils commencent à tirer le bassin vers le bas. C'est
ce que l'on appelle une inclinaison pelvienne postérieure, cela change
la courbure de la colonne vertébrale. Ce phénomène peut être renforcé
par la position assise toute la journée, qui conduit elle à la rétraction des muscles ischio-jambiers.
La courbe lombaire se modifie, la douleur s'installe et tout cela peut
conduire à une hernie discale. Ce genre de problème arrive souvent aux
sportifs (et particulièrement à ceux qui fréquentent une salle de
musculation) quand ils refusent de travailler sur leur souplesse
considérant que c'est un truc de filles.
Donc si vous voulez éviter les
douleurs et les blessures, avoir un corps solide n'est qu'une partie de
la solution, il faut aussi avoir un corps souple.
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